2007

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Hervé Di Rosa et sa famille s’installent à Paris.

Hervé présente à partir de février, au musée Botanique de Bruxelles, une nouvelle version de «DirosAfrica» où ses œuvres côtoient objets populaires et traditionnels originaires des différents lieux visités. «DirosAfrica» est présentée également à partir de juillet au musée Denys-Puech de Rodez et en octobre à l’espace MC2a à Bordeaux. Durant l’été, l’Institut français de Casablanca organise l’exposition «Hervé Di Rosa» à la Villa des Arts de Casablanca (catalogue).

Sous son impulsion, le MIAM présente les expositions de street art «Graffiti stories» et «L’art modeste sous les bombes» à Sète et à l’Abbaye d’Auberive (catalogue). Benoît Decron, conservateur du musée de l’Abbaye Sainte-Croix des Sables d’Olonne, propose une relecture de ses peintures depuis plus de 25 ans sous le titre : «Tout l’œuvre peint». L’ouvrage Tout l’œuvre peint d’Hervé Di Rosa qui accompagne l’exposition fait écho à la célèbre collection de Flammarion.

Dans son nouvel atelier parisien, Hervé Di Rosa commence les premières peintures de la série Paris nord et réinterprète les personnages de la «Diromythologie» – disparus de ses peintures en 1984 – dans des peintures signées «Di Rosa Classic».

Il réalise des sculptures en céramique chez Jean-Marie Foubert à La Tuilerie de Treigny et une série de gravures au centre d’art graphique de la Métairie Bruyère (Yonne) ; le tout présenté sous le titre «Anatomie grotesque» au centre régional d’Art contemporain du Tremblay.

Hervé Di Rosa publie Hervé Di Rosa, l’art modeste aux éditions Hoëbeke ainsi que Hervé Di Rosa, Journal modeste dans la collection «Les Cahiers dessinés» aux éditions Buchet-Chastel (entretiens avec Patrick Amine).

Il démarre l’étape 16 du tour du monde, Tel Aviv, Israel avec la Galerie KEZA (F.Adamsbaum/ S.Tenoudji). Cette étape est constituée de plusieurs voyages dans lesquels un atelier nomade est constitué.