1985

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La «Dirosapocalypse» est exposée au printemps à la nouvelle biennale de Paris pour laquelle Hervé Di Rosa réalise l’affiche et la couverture du catalogue.

Au printemps et en automne, il se rend au Japon où il prépare pendant plus d’un mois une exposition pour la Sogetsu-Kai Kan Foundation à Tokyo et découvre les «mangas». À Strasbourg est publié, en sérigraphie, le premier «Di Rosa Magazine». Trois numéros suivront dont un édité à l’occasion de l’exposition à la galerie Gillespie-Laage-Salomon où sont présentés les «Affrontements apocalyptiques».

En été il délaisse Paris pour regagner Sète. Dans le calme de son atelier, il travaille à la peinture à l’huile : j’avais envie d’un rendu plus moelleux, plus sensuel, pour tenter de pallier l’appauvrissement de la matière picturale un peu sèche, un peu rêche de la couleur acrylique. J’avais tendance à multiplier les détails, à surcharger. Avec la peinture à l’huile, j’avais l’impression de pouvoir revenir à des formes plus simples.