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Pascal Ben Soussan et Hubert de Maximy voient l’affiche de l’exposition à la galerie Tony Shafrazi et décident de produire une série d’animation des personnages de la «Diromythologie». Ils réalisent deux maquettes préparatoires mais le projet reste sans suite.

Avec son frère, Hervé Di Rosa transforme la Robert Frazer Gallery de Londres en «Dirozoo». L’installation modifiée est reconstituée quelques mois plus tard à Paris, ARC, Musée d’art moderne de la Ville de Paris, «5/5 Figuration libre, France/USA».

Il expose à la galerie Catherine Issert à Saint-Paul-de-Vence puis participe à des expositions collectives à Los Angeles, Troyes, Lausanne, Heidelberg, Aarau, Oslo, Aalborg, Montréal, Charleroi.

Il réalise avec François Boisrond une peinture murale au Museum of Contemporary Art de La Jolla.

Il profite de son séjour à San Diego pour se rendre au Mexique.

Durant la dernière quinzaine de novembre, il peint la « Dirosapocalypse », grande toile de 8 x 4 mètres dans laquelle il fait disparaître tous les personnages de la «Diromythologie» : j’ai été obligé de tuer ces personnages pour me dégager du monde égocentrique presque schizophrénique où ils me retenaient.

Ses personnages animeront les productions de la boutique «L’Art modeste». Ils seront transformés en figurines ou seront reproduits sur des chaussettes, pull-overs, blocs-notes, assiettes, tapis, bijoux, montres, T-shirts, etc…