1978

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Il est reçu au concours d’entrée de l’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris où il étudie les arts plastiques, le cinéma d’animation et la vidéo. Dès les premiers jours il y rencontre François Boisrond.

Hervé Di Rosa habite une chambre de bonne avenue Franco-Russe : en me penchant, je voyais la tour Eiffel de ma fenêtre.

En compagnie de Robert Combas et Catherine (dite Ketty) Brindel, il réalise «Bato», journal entièrement fabriqué à la main, fait de collages, de photocopies, de dessins répétés, d’objets sous plastique et tiré à cent exemplaires ; ne paraissent que quatre numéros.