1981

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«Finir en beauté», sa première exposition en compagnie de Robert Combas, Rémi Blanchard et François Boisrond, a lieu dans le loft que vend le critique Bernard Lamarche-Vadel.

Ben Vautier leur trouve un nom : «figuration libre : 30 % de provocation anti-culutrelle, 30 % de libre figuration, 30 % d’art brut et 10 % de folie».

1981 est également l’année de ses premières expositions personnelles, à la galerie Riekje Swart à Amsterdam, puis à la galerie Eva Keppel à Düsseldorf. Il peint sur des morceaux de carton d’emballage, toujours de format 50 x 50 cm, afin de reproduire une narration semblable à celle de la bande dessinée.

En octobre, il retrouve les autres membres de la «Figuration libre» à l’occasion de l’exposition «To end in a Believe of Glory ou le Paris australien» organisée à Paris rue des Blancs-Manteaux par Hervé Perdriolle.

C’est aussi à cette époque qu’il joue le rôle du soldat Flømke dans «Le Bunker de la dernière rafale», le premier film de Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet. Il habite quelque temps avec Farid Chopel et joue dans son spectacle «No more Brandy».
Parce qu’il n’a toujours pas d’atelier, Hervé Di Rosa ne peint que des petits formats. Il profite d’un atelier ou d’un appartement prêtés momentanément par des amis pour peindre quelques grandes toiles.

En décembre, il est sélectionné par Suzanne Pagé aux «Ateliers 81-82», ARC, Musée d’art moderne de la Ville de Paris.